Emprunt Com Dj Virus - Extraits de poèmes |
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S'en allé !
Les jours qui passent,
qui,différenment nous réviénnent
Les jours d'éclats,de joies intenses vont et réviennent lugubres et tristes
Dans le noir profond,
je vois des aveugles jouer à cache-cache,
dans un silence de cimetière,j'entends des muets converser,se plaindre de la chèreté de leur vie et de l'injustice sociale
la paie est minime pour l'estomac
le problème dépasse les solutions
les sanglots sélèvent et peu à peu
l'espoir fuyait,
trop de charges pour lui seul
triste pour nous
joie pour nous
car les jours s'en vont à jamais pour différenment nous révenir.
LA RIVIERE:
Guidée par les traces de son destin
qui promettait de revenir.
elle continue sa course
attendant sérénement,
le retour de son destin
je m'assied et j apperçu
de verdatre cailloux,et morceaux d'habits s y trouvent
Elle voulu me parler
je l'ai sentis et j'obsèrvais mélancoliquement
puis elle me dit:" Je sais la question que tu pose;L' eau ne rend til pas propre?
puis J'ai marché tout le long de la rivière,
je m'accroupis pour l'ecouter
j'enttendu un silence de cimetière
comme pour me dire de me confesser à elle;
Cette rivière qui coule vers le futur ambigu
malgré les obstacles elle avance
malgré les saisons, jamais elle ne sèche
l'homme la polue ,
elle le nourrit;
L 'africain est il different d'elle ?
L'ANE DU MALI
Sans ambition et toujours angelique,
armé d'un courage réligieux
supportant passivement l'humeur aride de l'homme
cet être insatiable
et toujours impérieux
l'âne dira un jour:Asséz!
j'ai asséz souffrers
j'ai asséz travaillé
ce coquin m'exploite
et ne m'est guère réconnaissant;
Ignomieusement,
je m'en irai
le laissant profiter de ce don je lui fait frofiter
il me jettera dans les ordures
sans qu' aucun régrèt sur son visage ne se lise
et de même mon petit subira le châtiment que m'avait réserver cette vie.
séra t'il comme moi ?
Patient ?.
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